Avis sur FIFA 18
Le point de départ de FIFA 18 est le même que pour tous les précédents : conserver les bases établies et maximiser l’expérience de jeu en gommant les imperfections, ou bien en introduisant de nouvelles features. Le « Pure Shot », c’est un peu des deux. Cette appellation un peu barbare pour les anglophobes désigne les animations de frappes (et les frappes elles-mêmes), totalement revues pour cet épisode. Plus de pied qui glisse, tout sera fluide et détaillé.
Là où dans FIFA 17, vous ne compreniez pas pourquoi tel joueur avait manqué sa frappe, dans FIFA 18 vous verrez tout de suite l’origine du problème, grâce à ces animations qui montreront que, finalement, le joueur n’était pas si bien positionné que ça sur ses appuis. Dans le cas inverse, vous aurez le droit à de nouvelles trajectoires, en partie grâce à la physique de balle elle aussi revue, bien plus réaliste.
Il est beaucoup plus plaisant de taper dans le ballon que par le passé (plus fort aussi), et certains devraient se découvrir une passion pour les pralines bien senties. En pratique, ça marche très bien. Et le marché des transferts qui s’en donner à coeur joie pour avoir les meilleurs frappeurs de ballons pour une poignée de crédits FIFA 18 : visitez notre page d’achat de crédits fifa 18 si vous êtes intéressés…
Nouveautés gameplay FIFA 18
Mais en plus de tout ça et des autres changements que l’on abordera plus tard, Electronic Arts nous a présenté un nouvel élément de gameplay, baptisé le « Precision Movement ». Partant du principe que chaque pas compte, les équipes d’EA ont mis au point une nouvelle technologie de mouvement et d’animation des jambes tout simplement bluffante. En développement depuis 2 ans, cette technologie régira par exemple l’animation la plus adaptée à la direction choisie par le joueur, que ce soit une ligne droite ou changement brusque. Mais ça, c’est surtout manette en main qu’on s’en rend compte.
D’entrée, dans FIFA 18, on est marqué par le contrôle des joueurs : ces derniers ont du poids ! On sent qu’ils sont véritablement sujets à la gravité, on sent que chacun réagit différemment de l’autre, on sent la masse Zlatan à déplacer, on sent l’explosion de Cristiano Ronaldo à l’accélération. Bref, on sent le foot tout simplement. C’est de mémoire la première fois qu’on ressent les millionnaires en short de cette manière.
Ce « Precision Movement » prend alors tout son sens ; tout est plus fluide que jamais. Il est indéniable qu’un cap a été franchi dans les animations et comportements des sportifs.
à suivre…
Les transferts dans FUT 18 en Italie
9 clubs en 9 ans pour Christian Vieri qui est décidément un homme à records ! Pour la petite histoire, en 1990, l’entraîneur de l’équipe amateur de Prato propose, bien sur gratuitement, le futur avant-centre de la Squadra Azzura aux dirigeants de la Fiorentina qui lui répondent : « il est moche votre joueur, il n’a aucune classe« . Vieri a donc signé son premier contrat au Torino, a vu sa valeur plus que doubler toutes les années et vient d’être cédé par la Lazio de Rome à l’Inter de Milan pour la modique somme de 275 MF !
Marcio Amoroso (noté « Silver » dans fifa 18) le meilleur buteur de l’exercice précédent mais pas un titulaire indiscutable en équipe du Brésil est lui passé de l’Udinese à Parme pour 200 MF, Parme qui s’est séparé de Veron au profit de la Lazio pour 175 MF.
Que dire du passage des jeunes espoirs italiens : Montella de la Sampdoria à la Roma pour166 MF, Simone Inzaghi (le frère de Pippo Inzaghi qui joue à la Juventus et qui lui, vaut encore son pesant en crédits FIFA ultimate Team ) de Piacienza à la Lazio pour 100 MF, Zambrotta de Bari à la Juventus pour 100 MF. Tous ces joueurs qui crèvent le plafond ont moins de 25 ans, tout comme Chevtchenko (136 MF du Dynamo Kiev au Milan AC), Kovacevik (123 MF de la Real Sociedad à la Juventus), Samuel (120 MF de Boca Juniors à la Roma), Ortega (120 MF de la Sampdoria à Parme) ou Appiah (100 MF de l’Udinese à Parme).
L’Italie a vu cet été (et ce n’est sans doute pas fini) une vague de transferts impressionnante, en conséquence les crédits FUT vont valoir de l’or… Ce renouvellement des effectifs,symbolisé par le passage de l’entraîneur Lippi et du gardien Peruzzi (110 MF) de la Juventus à l’Inter, fut rendu possible par de juteux contrats de télévision signés directement par les clubs. Certains commencent à s’émouvoir des sommes invoquées d’autant que les 38 clubs de série A et B affichent un déficit cumulé de plus de 300 MF.
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